De façon inattendue ou pas, l’humanité dans toute sa totalité est depuis un temps victime d’une pandémie meurtrière.
La Covid–19, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, cette maladie ne cesse de faire paniquer les gens. Elle sème la terreur partout là où elle passe. Semble-t-on dire qu’elledécime, dévaste, éradique et ravage sans pitié des vies humaines dans sa trajectoire. Raison sans doute pour laquelle, dans toutes les chaines médiatiques du monde, elle occupe une place de choix.Elle s’érige en principale actrice comme la seule véritable vedette in contournée etincontournable de l’univers.
En cette matière, le pays de Maô TchéToung1 là d’où elle provient, les pays d’Europe, et ceux d’Amérique en savent long.
Pour éviter le pire, une série d’ordonnances présidentielles décrétant l’état d’urgence sanitaire en RD. Congo ont été urgemment signées, diffusées et communiquées dans la quasi-totalité des chaines de radios et de télévisions nationales.
Elle alertait la population du danger infernal qui guette le peuple congolais par la contamination et la propagation rapide de la:« fameuse maladie mystérieuse ». Toutes ces prescriptions attendaient la bonne compréhension citoyenne et la mise en application consciente pour la sauvegarde nationale devant la terrifiante et redoutable pandémie.
Des instructions ainsi données prônaient l’arrêt immédiat de toutes les activités génératrices des recettes tant publiques que privées : magasins, marchés, hôtels, bars, salles funéraires et salles des fêtes…) sur toute l’étendue du territoire national congolais.
La même mesure frappait également toutes les Eglises, les Hôtels, les cérémonies funéraires à domicile aussi bien que les restaurants officiels et ceux de fortune communément appelés « Malewa ».
Elles limitaient également le nombre de clients dans les bus, taxis-bus, taxis et même à bord des « Wewa3 ».
Aucune exception était faite à une institution éducative de quelque niveau qu’il soit : maternel, primaire, secondaire ou universitaire. Toutes étaient soumises à la même loi : occasion d‘éviter la contagion dans des attroupements de plus de 20 personnes.
Des mesures barrières idoines prises par la haute hiérarchie du pays accompagnant les textes légaux invitaient la population congolaise entière, et particulièrement celle de Kinshasa, au strict respect des règles barrières de contamination.
Elles stipulaient le port obligatoire de masque, le lavage régulier et obligatoire des mains, l’interdiction formelle de se saluer manuellement, trêve des accolades et des embrassements, l’obligation de tousser sous le coude ou dans le papier mouchoir, le respect de la distanciation... A cela s’ajouta le confinement qui interdisait toute sortie locale, nationale ou internationale.
Ne pouvait se mouvoir que la personne détentrice d’un batch légalement signé par l’autorité compétente.
Dans la Capitale congolaise, la Commune de la Gombe fut la première victime à expérimenter le confinement.
En outre, les dispositifs efficaces et courageux étaient pris par le pouvoir pour contourner la maladie.
Au niveau scientifique, des recherches avaient été amorcées au niveau des universités et instituts supérieurs de la place. Le cas de l’I.N.R.B en dit long.
4 Des campagnes de sensibilisation motorisées et pédestres sur la pandémie couvraient presque tous les quartiers de la Capitale.
La majorité des maisons de communication téléphoniques telles que « Vodacom, Airtel, Orange… », et quelques organisations non gouvernementales locales et internationales ainsi que certains organismes de renom, de la trempe de la Banque Mondiale, l’OMS, l’UNICEF, UNFP ont tant soit peu contribué financièrement ou matériellement pour matérialiser leur participation dans la lutte consistante à éradiquer la propagation de la maladie sorcière.
Face à cette maladie qui décime plusieurs milliers des vies humaines dans le monde, pour la meilleure intelligence de ce vocable et pour éclairer la lanterne de l’opinion, l’objectif qui nous est assigné dans la présente étude est de :
- connaitre l’explication que donne la population urbaine de Kinshasa à la pandémie qui sème la terreur dans le monde, et particulièrement en RD. Congo.
- de chercher d’épingler l’attitude de la population kinoise devant la Covid-19, c’est-à-dire, quelle réaction affiche – t-elle ?
- connaitre les avis et propositions de la population kinoise sur les pistes de solutions idoines capables de contourner éventuellement ce fléau,.
- tirer une conclusion sur la lecture que se fait le congolais kinois sur cette pandémie.
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