La question de la sorcellerie trouble l’ordre public. Que doit faire le droit face à ce problème ? La Professeur Bayona ba Meya écrivait à ce sujet que « la sorcellerie est une préoccupation vraiment sociale, car il ne se passe un mois sans qu’on ne signale soit la chute d’un sorcier dont l’avion aurait connu une panne sèche, soit le contrat tragique dans les écoles de l’initiation des petits enfants a? la sorcellerie par la consommation d’un morceau de pain ou d’arachides qui dans la bouche se transforme en morceau de viande humaine ». La croyance a? la sorcellerie et au moyen de s’en protéger est évidemment improuvable par la science, c’est une question de croyance et d’opinion libre. Il est évidemment impossible de prouver que la foudre qui a tue? monsieur X ou le chien enrage? qui l’a mordu ou encore le cancer qui le mine ont bien e?te? envoyés par son oncle maternel, même si cet oncle maternel le reconnait par un aveu libre ou judiciaire. ...
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